"Je n'irais plus à la Fnac / au Virgin (rayer la mention inutile), c'est terminé". Hier après-midi, je me promenais donc dans Bordeaux, profitant des derniers jours de chaleur, de soleil et de filles en jupe. Les Quais, le quartiers St Pierre, Place Camille Julian, Cours V. Hugo, Rue St Catherine ... Les gens connaissant Bordeaux me voit venir de loin, ils peuvent passer au paragraphe suivant. Ou au post suivant. Ou au blog suivant.
Allant de jupe en jupe, mes pas m'ont amenés presque mécaniquement devant la Fnac, un décolleté se chargeant de m'y faire rentrer comme si de rien n'y était. Je ne pris conscience de la situation qu'en tombant nez à nez avec un présentoir à culture (acculture?). Que faire? Dois-je partir en courant ou reste-je dans ce lieu qui m'attire de mille cris? Si j'étais partis, je ne serais pas là à vous écrire.
"Fort je suis! Aux tentations résister je peux! Soit, allons voir...". L'air de rien, je suis rentré. L'air de rien, j'ai passé 35 min au rayon musique. L'air de rien, j'ai 20 min au rayon multimédia. Et alors que je pensais enfin pouvoir sortir la tête haute, ma route a croisé le rayon DVD. Peu de risque me dis-je, j'achète peu de Dvd (Je trouva ça cher et ça me lasse beaucoup plus vite que les CD). J'aurais du me méfier.
Sournoisement planquer entre deux piles de coffrets spéciaux de séries américaines (Ya des promo sur les coffrets. Tu pourra pas dire qu'on t'as pas prévenu), j'ai aperçu ce pauvre petit coffret tout triste, tout seul. Il me regardait avec ses grands yeux humides de tristesse larmoyante. Il n'avait personne à faire rire et tout le but de son existence s'en trouver chamboulé. Je n'ai pu résister à adopter le coffret intégrale des quatre saisons du Monty Python's Flying Circus. Je suis faible ...
Demain je vous expliquerai comment tuer des chiots à l'arme blanche sans en mettre partout.
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