26/10/2008

Tagine aux citrons et citrons confits

Suite à une demande de Nef, voici une recette de Tagine aux citrons. Elle est aussi disponible aux Coing sur demande.


Pour dix personnes
Temps : 3 heures
Viande de mouton : 2kg coupés en morceaux.
Citrons : 2
Citrons confits : 4
Gingembre pilé : une cuillerée à café, au goût
Safran : fleur de safran pilée, une pincée ; ou à défaut curcuma on aura au moins la couleur
Ail : 2 à 4 gousses selon goût
Coriandre : un bouquet, haché
Poivre : une cuillerée à café
Sel : peu
Oignons : quatre, émincés
Huile d’olive : sans goût, deux cents grammes, ou plutôt beurre ou encore mélange huile et beurre ;

Dans le “taoua” ou à défaut une cocotte à fond épais, faire dorer au four et à découvert la viande, puis mettre 2 oignons émincés, le safran, le sel, le gingembre, le jus des deux citrons et la coriandre ; recouvrir d’eau. Remettre le couvercle du taoua. Quand la viande est presque cuite et l’eau évaporée aux trois quarts, ajouter deux oignons hachés finement. Une demi-heure avant de servir, mettre les citrons confits. Si la sauce est trop longue, la recueillir et la faire réduire dans une casserole. Remettre la sauce réduite. Servir.

Ce tagine peut être réalisé avec du poulet, réduire alors le temps de cuisson. Disposer harmonieusement dès le départ les morceaux de poulet, un tagine ne se remue jamais.

25/10/2008

I just don't know

It's been 2 years since i met most of my Aussie friends. I don't really miss it since i love "charcuterie, pain, fromage" and many french stuff. I love my take it easy ozi friends, the chiens ecrasé news and the everything is possible country. I dont feel like leaving France but i don't real feel like stayin here. Gettin a job in France/Bordeaux, would help me taking a decision but it's not what im deeply lookin. "We will maore than happily have you inoz bur i will keep my fingers crossed 4 a job in france then you can visit and have the best of both world" Said a really good friend of mine. She is awfully right. Here is my life since I don't have any other plan.
But now I have plans. Novembre: I'll receive answer for the job letter i sent and i'll be lookin on web sites (4 french jobs). Decembers: i'll be looking for jobs anywhere. By the end of Jan, I'll be lookin for a job anywhere around the world. Especially Australia and New Zealand. I don't feellike it's the ultimate perfect place on earth but just the place that i-islookin for me.
See lads, take care

24/10/2008

Moi aussi j'ai une phobie

C'est une phobie unique au monde. Une peu avouable et qui fait beaucoup souffrir. C'est un peu difficile à vivre en société mais je me soigne. En fait, j'ai peur qu'une bête rentre ou sorte des oreilles des gens. Qu'il y est un truc visqueux qui leur mange le cerveau et ponde des oeufs à l'intérieur. Vous rigolez mais quand on pense au nombre de cons qui existe et dont il est aisé d'imaginer que leur lobotomie fut un succès total, moi j'en ai la chair de poule. Ca me donne envi soit de leur mettre un doigt dans l'oreille pour être sur que ça ne sort pas. Ou de leur mettre un doigt dans l'oreille pour sur que ça rentre pas (ça c'est les rare jours ou j'ai un quelconque espoir en l'humanité).
Le pire c'est qu'on ne sais rien de Al (c'est le nom que j'ai donné à ceux gros vers mangeur de cortex) (oui il s'appelle comme Al Bundy, ca vous surprend?). On ne sais pas comment il arrive la. On ne connaît pas son mode de reproduction ni son mode opératoire pour exterminer toute trace de cerveau. On ne sais pas s'il s'attaque aux animaux (quoique pour mon chat et celui de Simone on a de forts soupçons) (d'ailleurs je ne met jamais mon doigt dans l'oreille des animaux). On ne sais pas non plus s'il peut contrôler le cerveau pour faire faire des truc bizarre à l'être humain (comment vous expliquez la Star Rac vous et les feux de l'amour?).
C'est pas facile à vivre comment phobie. C'est pour ça que je déteste le métro et les transport en commun sauf aux heures ou il n'y a personnes. Enfin c'est surtout les gens qui m'y détestent. On sait jamais sur quoi ou qui on va tomber (oui, si on a un Al dans le crâne, on passe de qui à quoi). Ya des esprits chagrin qui ne supporte pas le moindre petit doigt dans l'oreille même si c'est pour leur bien et que c'est complètement désintéressé de ma part.
Certains (voir certaine, voir Nef) de mes amis/amie s'en serve pour exprimer l'ouverture d'esprit qu'ils ont eu quand mon doigt à rencontré leur oreille pour ne pas me repousser mais comprendre qui j'étais et mes motivations. Pipeau, ils savent très que j'ai cru voir passé une jolie fille dans le couloir, que je l'ai sifflet et qu'en faite c'était Nef (Je suis en train petit à petit de me fâcher avec toute la famille par blog interposé, ca devrait occuper mes longues soirées d'hiver) ...
Voila, voila. Je pense ouvrir une agence de protection contre le mangeage de cervelle. Je vous publierais bientôt mes tarifs. Avec réduction pour les lecteurs de ce blog.
Mes amitiés à votre épouse.

22/10/2008

J'hesite

à écrire sur Jean-Pierre Manchettte ou Newport Beach...

21/10/2008

J'avais pourtant dis

"Je n'irais plus à la Fnac / au Virgin (rayer la mention inutile), c'est terminé". Hier après-midi, je me promenais donc dans Bordeaux, profitant des derniers jours de chaleur, de soleil et de filles en jupe. Les Quais, le quartiers St Pierre, Place Camille Julian, Cours V. Hugo, Rue St Catherine ... Les gens connaissant Bordeaux me voit venir de loin, ils peuvent passer au paragraphe suivant. Ou au post suivant. Ou au blog suivant.
Allant de jupe en jupe, mes pas m'ont amenés presque mécaniquement devant la Fnac, un décolleté se chargeant de m'y faire rentrer comme si de rien n'y était. Je ne pris conscience de la situation qu'en tombant nez à nez avec un présentoir à culture (acculture?). Que faire? Dois-je partir en courant ou reste-je dans ce lieu qui m'attire de mille cris? Si j'étais partis, je ne serais pas là à vous écrire.
"Fort je suis! Aux tentations résister je peux! Soit, allons voir...". L'air de rien, je suis rentré. L'air de rien, j'ai passé 35 min au rayon musique. L'air de rien, j'ai 20 min au rayon multimédia. Et alors que je pensais enfin pouvoir sortir la tête haute, ma route a croisé le rayon DVD. Peu de risque me dis-je, j'achète peu de Dvd (Je trouva ça cher et ça me lasse beaucoup plus vite que les CD). J'aurais du me méfier.
Sournoisement planquer entre deux piles de coffrets spéciaux de séries américaines (Ya des promo sur les coffrets. Tu pourra pas dire qu'on t'as pas prévenu), j'ai aperçu ce pauvre petit coffret tout triste, tout seul. Il me regardait avec ses grands yeux humides de tristesse larmoyante. Il n'avait personne à faire rire et tout le but de son existence s'en trouver chamboulé. Je n'ai pu résister à adopter le coffret intégrale des quatre saisons du Monty Python's Flying Circus. Je suis faible ...

Demain je vous expliquerai comment tuer des chiots à l'arme blanche sans en mettre partout.

Il rentre dans la pièce titubant.

Le visage dans ses mains, les nerfs à plats, il ne maîtrise plus ses gestes, se cogne dans la porte. Il chancel, il tombe à genou, il pleure. La couleur du sang le rappel à la réalité. Tout est allé si vite, si violement. A midi, elle était encore vivante, elle riait, il l’aimait, la prenait dans ses bras. Son cœur tente de s’arracher, d’exploser, de s’expulser de sa poitrine. Il ne veut plus être la, il ne veut plus être lui, il veut s’échapper. Loin. Seul ce mot le calme. Loin. L’espoir d’un ailleurs, d’un autrement, d’un recommencement, de l’oublie de ce qui s’est passé. La fuite.
La tête ensanglantée, on dirait qu’elle sourit. Le sang s’est écoulé sur son visage en bruine et en léger filet. La pâleur de son visage contraste avec la vague pourpre qui dégouline le long de ces joues blanches. Ses cheveux noirs tentent de camoufler le malheur, d’en effacer les traces. La trace d’un drame qui n’aurait jamais du arriver, d’un drame qui s’est joué à des détails, des centimètres, de la nervosité, d’un muscle qui se tend trop, trop vite. Elle sourit à l’ange qui est venu la chercher. Pas de temps pour la souffrance.
Il ne peut plus rien. Ni pour lui, ni pour elle. Est-elle toujours en vie ? Peu importe la réponse, il reste tétanisé. Les drogues ne l’ont toujours pas libéré. La colère l’a abandonnée elle. Aussi vite arrivée, aussi vite repartie. Un éclair, un flash, une folie, un geste. Il n’en a pas fallu plus pour que la vie bascule. Il ne sait pas ou il est. Tout juste qui il est.
Le frère rentre. Le frère cri, hurle, panique, s’affaire autour de sa sœur chérie. Sa sœur adorée. Sa sœur assassinée.
Il ne l’entend pas, il n’entend rien. Bientôt, il sentira une nuée l’entourer, l’oppresser, l’emmener au loin. Pas encore assez loin. Il voudrait aller voir derrière la porte s’il y trouve ses esprits. Il voudrait aller voir de l’autre coté du globe s’il se retrouve lui-même. Il voudrait aller voir de l’autre coté de la vie ce qu’elle cache. Ses mains attachées lui rappellent la réalité. Celle là aussi il voudrait la trouver, lui demander des comptes. Les questions tombent comme le marteau sur l’enclume. Il tente de relever la tête vainement. On lui fait avaler des cachets. Il veut les recracher. Il n’y arrive pas. Il les avale. Le mal de crâne est parti mais son visage reste brouillé. Les questions, les explications, les menaces, les cris, le calme forme un puzzle qui ne s’emboîte pas. Les formes sont molles. Son cerveau est une horloge de Dali. Il reste horloge mais ne peut donner l'heure. Il est dépossédé de son essence, de sa raison d’être. Le visage ensanglanté lui revient régulièrement à la mémoire. Il tente d’enlever désespérément le sang, de nettoyer se visage qu’il chéri tant. Il ne peut pas parler.
Alors on lui raconte la scène, on lui décrit. Un geste violent, déplacé, non maîtrisé, un geste de protection. Un placard mal fermé, une glissade, une réaction brusque, la tête se cogne une première et dernière fois.
Click ! Clack ! C’est tout ce qu’il capte. Son seul contact avec le monde extérieur, avec une réalité après laquelle il court. Une réalité à qui il voudrait faire la peau. Il se réveille tous les matins au coté de ce visage. Il pleure comme au premier jour de sa nouvelle existence.
Le temps s’écoule, les années défilent, les saisons passent. Il meurt chaque jour un peu plus. L’ange ne viendra pas pour lui….

Charcomètre

Pierre Belmare : Bonjour Maryse.
Maryse : Bonjour Pierre.
P : Bonjour à tous nos amis télé acheteur et téléspectateur. Aujourd’hui encore une sélection d’articles exceptionnels et de prix défiant toute concurrence ! N’est-ce pas Maryse ?
M : Oui Pierre.
P : Commençons sans plus attendre par un article unique en son genre : Le Charcomètre ! Un article tout à fait étonnant.
M : Oh oui Pierre.
P : En quoi consiste le Charcomètre ? Eh bien c’est très simple, Il se présente sous la forme d’un Charco et sert, pour ces dames, à savoir si elle vont bientôt avoir un galant, cavalier, amoureux, amant, ou encore un soupirant. Vous pouvez constater que le concept en est très simple.
M : Oh oui Pierre.
P : Comment fonctionne-t-il ? Eh bien Maryse, il suffit à ces dames de passer quelques heures en compagnie du Charco, une ou deux soirée sont conseillées, qui, à la fin, vous rendra son verdict. À savoir, si oui ou non elle a un galant, cavalier, amoureux, amant, ou encore un soupirant. Le Charco peut aussi indiquer le taux de réussite de vos avances ; mais toujours uniquement pour les dames. (Ah l’enfoiré). Je vois que ce produit vous intéresse Maryse.
M (en bavant avec une voix de miel) : Oh oui Pierre.
P : Et pour combien peut-on se procurer ce magnifique et unique exemplaire au monde du Charcomètre. Un objet qui est donc d’une grande rareté, qui se transporte tout seul, qui s’auto-entretient et qui est d’une grande politesse mais qui, je vous l’accorde, prend un peu de place à cause de ses chevilles qui enflent. Donc pour combien peut-on se le procurer ? Eh bien pas pour 1000 francs, pas pour 500 francs, pas pour 100 francs ? pour rien du tout. Eh oui, le Charcomètre est gratuit ; en tout cas pour vous, car lui il s’en est s’en tire avec une bonne déception. Un prix magnifique n’est-ce pas Maryse ?
M (toujours en bavant avec une voix de miel) : Oh oui Pierre.
P: Bien et maintenant passons au guide d'élimination de la belle mère. Nef Bonjour!

Malice la limace et le Bâton de réglisse

Malice la petite limace gambadait follement dans les herbes hautes. Le printemps avait amené avec lui son lot de soleil, ciel bleu, douceur de l’air et autres trucs qui déchirent au printemps.
Elle se rendait au marché fait quelques courses pour le dîner. Elle recevait M. Haribo grand producteur de bonbon sucrée genre sucrée avec option cari. Elle aimait beaucoup Steven Haribo. Elle en était secrètement amoureuse depuis de nombreuse zannées mais comme Steven était toujours très occupé, elle n’avait jamais eu l’occasion de pouvoir oser lui avouer que peut-être l’éventualité qu’elle soit amoureuse de lui puisse être un temps soi peu vrai, voir vrai.

Pour arriver à ses fins, elle avait prépara un repas de choque :

Soupe au gingembre
Bouchés d’encornet farcis dans leur crème de marron
Dinde aux Fraises tagada
Banana Split

Elle espérait conclure ce soir et pouvoir lui faire sa danse de la coquille, ce qui est amusant pour une limace.
Malheureusement son plan échoua, poil au bras. Non pas que les talents de charmeuse de dragibus et autre carensac de Malice soient contestables mais Steven était gay. Il lui avoua qu’il entretenait une relation secrète avec Super Poulain depuis plusieurs zannées et que ca faisait un bail qu’il avait viré les fraises tagada au profit des zanzigliss1.

Frustrer Malice la petite limace décida de ne plus jamais manger de bonbon Haribo-c’est-beau-la-vie-pour-les-grands-et-les-petits. Désormais, elle ne mange plus que des bâtons de réglisse pour satisfaire ses envies sucrière, poil au derrière.

Epilogue :
Steven Haribo et Super Poulain se co-branding et eurent beaucoup de petit chevaux gélatineux au chocolat.

1 Note de l’auteur : C’est comme ça qu’on dit dans le monde des sucreries, j’y suis pour rien.

Reprise

Elle a chopé le Sida
La mononucléose
Un cancer du foie
Et la tuberculose
J’crois qu’elle va mourir
Elle a même des croûtes
Jusque dessous les bras
Maintenant elle peut plus
Chier que son pancréas
Elle fait que de pourrir
Elle fait que de pourrir
J’crois qu’elle va mourir

Elle a dû régurgiter
Toutes ses liquidités
Et a fait de ma vie
Un cours d’anatomie
Des bouts de cervelles
Travers le ciel
Quand elle crache ses poumons
Partout sur le goudron
Et c’est à vomir
Elle veut pas pourrir
Elle veut pas pourrir
J’crois qu’elle va mourir

Elle a du perdre toutes ses glaires
Pour être aussi sèche aujourd’hui
Elle a du perdre toutes ses glaires
Et des morceaux de morve aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve de morphine
Pour lui dire adieu
A sa dorsal épine
J’crois qu’elle va mourir

De son poumon d’acier
Elle veut s’envoler
Elle me chante souvent
Qu’elle ressent des relents
De putréfaction
De putréfaction
J’crois qu’elle va mourir
Elle nous montre ses crottes
Cachées dans ses couches
Et fait bouger sa glotte
Au rythme des mouches
J’crois qu’elle va mourir

Elle doit bien s’asseoir
Pour être sur de viser
Car bien sur que vouloir
Ca suffit pas pour chier
Droit dans les WC
Droit dans les WC
J’crois qu’elle va mourir

Elle a du perdre toutes ses glaires
Pour être aussi sèche aujourd’hui
Elle a du perdre toutes ses glaires
Et des morceaux de morve aussi
Elle a chopé le Sida
La mononucléose
Un cancer du foie
Et la tuberculose
J’crois qu’elle va mourir

Elle a des vapeurs
A cause de ses tumeurs
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour finir de moisir
Pour finir de moisir
J’crois qu’elle va mourir.

PS: Pour la musique, tu l'as déjà.

Truth in your Eyes

I'm looking for the truth in your eyes,
N' I can't see anything relevant,
Only the deep fog in which you live.
What is the message you have sent?

Chorus:
If you do not know, how could I know?
You're an enigma, you're the answer!
You're an enigma, you're the answer!

You're a question to yourself.
How could you seem different to me?
I was looking for someone else
Someone who could have care about me.

Chorus

How could you managed to do it
For me, if you cannot do it
For you, you, you, you...

You drive me crazy, please tell me.
I would like to know what you see?
I've to cope with what you are
Even if it's still a mystery ...

If you do not know, how could I know?
You're an enigma; I'm not the answer!
You're an enigma; I'm not the answer!

You've left me on my own.
I know you'll find your "Own".
But it's too late for me,
Pity, I loved you ma chérie.




La semaine prochaine, je vous raconterais comment perdre 3 amies en une semaine (j'ai pas encore choisi qui) (Faut bien faire du ménage un peu)!


PS: Merci a G et J
PS: Un jour vous l'aurez avec la zik

Madame, Mademoiselle, Monsieur Goodday!

Notre édition de ce soir (oui c'est le soir chez vous alors je m'adapte) sera un peu particulière car il n'y aura qu'un seul mais largement couvert, documenté, filmé, expliqué, décortiqué, analysé, commenté en couleur et en mondovision, sujet. Ce soir nous nous intéresserons à l'introduction d'un Charco à Sydney. Contrairement à ses homologues plantigrades introduits dans les Pyrénées, l'importation d'un Charco à Sydney a souffert de beaucoup moins de contestation et ne s'est pas retrouvé avec un pot de miel plein de "mort au rat" et de verre pilé devant sa porte. Seul le bureau de l'immigration australienne aura essayé de réagir mollement en freinant l'obtention d'un visa bien mérité. En effet, rien à voir avec les comités anti-réintroduction-d'ours-dans-les-Pyrénées. Leurs tentatives, dont la vigueur est digne de celle d'une huître asthmatique, de trouver une faille dans les procédures s'est avéré un échec. En effet rien à voir comme je le disais plus haut - mais j'insiste bien sur les termes car c'est un passage important de l'émission et si vous ne suivez pas vous allez être larguer-. Rien à voir donc avec les gesticulations haineusement décérébrées et dignes des Moulins du Chapitre 13 de Don Quichotte. Rien à voir avec les moyens déployés par nos chers agriculteurs pour éviter que les ours (Slovène en plus ; encore des immigrés) ne viennent, jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes. Les autorités locales n'osèrent pas atteindre les niveaux (Olympique) de mauvaise fois et de poujadisme dont nos "anti-ours" se vantent et se gargarisent. "Nous ne sommes pas contre les ours. Simplement, nous n'en voulons pas chez nous" fit remarquer le maire d'Esterre (source : http://www.pyrenees-pireneus.com). Il n'y a qu'un pas que je ne franchirais pas pour comparer cette déclaration avec la trop fameuse : "Je ne suis pas raciste, mais je ne veux pas des Arabes chez moi."
Donc aucune comparaison possible entre Charco et Paloma (lire: « Paloma, «tombée pour la France» » ( Le Monde du 29 août)). Non je ne fais pas dans l'anti-"anti-ours" primaire ; il suffit de les écouter quelques minutes pour devenir anti-"anti-ours" secondaire pour reprendre la figure de style de, dieu ai son âme et dieu lâches la mienne, Pierre Desproges.
Pour filer la comparaison entre Charco et plantigrades, le Charco a trouvé à son arrivée un habitat parfaitement adapté à sa survie. Si les ressources nutritives reste d'un intérêt très limité, elles sont tout de même présentes en profusion et le climat satisfaisant pour tout une très large majorité des Homo-Sapiens-Sapiens. On pourrait même aller jusqu'à affirmer que les homo-erectus s'y seraient plu. Il faut cependant être attentif au soleil. S'il est un partenaire indispensable pour la qualité de vie. Il faut bien y faire attention car c'est un traître qui n'hésitera pas à vous assassiner à grands coups de dégénérescence d'un grain de beauté et autre forme du cancer de la peau. D'ailleurs 50% de la population local y a droit. Traité à temps aucun problème, si vous tardez trop en 3 semaines tu peux être parti pour un long voyage avec un aller simple.
Hors antenne : Ahahah, visez la transition les gars
Les déplacements du Charco dans son nouvel environnement reste cependant compliqué. En effet, Sydney doit disposer du plus mauvais réseau de transport du monde. Il est limité voir très limité, cher voir très cher, inefficace voir très inefficace et par-dessus le marché, il est impossible de comprendre quoique se soit quant aux tarifs appliqués. Que je sois flagellé pour chaque jour où j'ai dit du mal des transports à Londres. Certes, il a beaucoup de défaut, mais au moins on fini toujours par rentrer chez soi quelque soit l'heure du jour ou de la nuit et on sais pour quoi on a payé.
Ne bougez pas! On va à la pub et on revient et après vous saurez tous des Australiennes, des surfeurs blonds bronzés, des Koala à gogo et des folles nuit de Sydney.
Hors antenne : Ahahah les cons, s'ils savaient qu'on ne leur en montrera presque rien
Nous revoici pour notre 2e parti d'émission. Tout de suite un reportage sur le quotidien du Charco.

Le matin en semaine, le Charco prend le train (oui ici train et métro c'est même combat. Les métros étant des trains qui vont sous terre). 20min arrivée, à l'arrivée à son bureau, il tente de s'acquitter du mieux possible des taches qui lui sont dévolus et cela jusqu'à la fin de la journée prévu vers 17h. Il s'accorde un repas bien mérité vers les 12h30 qu'il partage généralement avec des congénères. Puis c'est train dans l'autre sens jusqu'à son point de départ du matin. Les week-end suivent un autre rythme puisqu'il part régulièrement explorer les limites de son territoire et les repousses sans cesse. Le Charco, contrairement à l'ours, n'hiberne pas et surtout pas en été puisque c'est l'été pour lui et qu'il a déjà 28°C aux meilleures heures de la journée. Il ne daigne pas non plus s'affubler d'une quelconque veste par-dessus son ticheurte ou sa chemise, pas même en plein coeur de la nuit sans lumière toute noire. En revanche il porte des pantalons pour se rendre à son bureau, le short reprenant ses droits dès le retour dans sa tanière.
Pour réagir à ces reportages nous avons invité sur notre plateau pas repas, plusieurs amis, connaissances du Charco dont nous venons de suivre les zaventures.
Commencons par vous M. Néric (le M. tient pour monsieur comme il est d'usage dans la langue française alors que Mr tient pour Mister, un shakespearisme). Vous êtes en direct live en mondovision de BeijingaliasPékinpourlesintimesetpourlesdames. Vous connaissez le Charco depuis 4 ans que vous inspire ces images :
Il donne pas de nouvelle le gros (note de l'auteur: c toi ki est gros Néric) et le chinois ca crache partout.
Merci beaucoup. Passons à Mlle Mayou qui se trouve aussi à BeijingaliasPékinpourlesintimesetpourlesdames : L'écoute pas Charco il est bête Néric. Envois-moi des photos de surfeurs.
Très bien, passons maintenant au témoignage d'une Limace resté en France mais qui a vécu à Sydeny : Oua Charco trop bien, tas trop de la chance, c'est trop bien Sydney, je voudrais trop y etre. (Reprise de respiration) Le bol, c'est ma ville préférée, ça déchire Ouéééé, ouuuuuuhhh, ouaaaaaa éééééééé ...
(Il la coupe) Oui oui très merci je crois qu'on a bien compris votre point de vue. Enchaînons avec un anti-ours : J'aime pas les ours.
Merci pour votre témoignage dont la profondeur touchante de sensiblerie véritable en fera réfléchir plus d'un. Et pour finir, un ami brésilien du Charco : Goooaaaall!!!! Ronaldinho!!!! Goaaaaaaaaal!!!!!!!!!!!!!!
Merci à tous. Je pense qu'à l'éclairage de ces témoignages, la lumière est faite. Merci d'avoir suivit notre émission. La semaine prochaine, un reportage sur pour ou contre les différences d'ages au 3e millénaire.

Motion du Parti Pas Socialiste pour le lancement d'un blog à succes dans le worldwide monde entier. (L'International Blog)

A force d'aller sur d'autres blog, je me suis dit et pourquoi pas aller sur le mien? Bon, je sais qu'il n'y a rien de neuf puisque j'ai rien écrit (je remercie l'éducation nationale, la télé et ma jacque Chirac pour m'avoir permis de développer un esprit aussi logique) mais bon, on sais jamais. Le soucis c'est ue j'ai rien à dire ou pas grand chose. Je suis plus dans la ré-action que dans la rédaction. Autrement dis, je vais surtout réagir au blog des autres et écrire un truc drole de temps en temps. Ce blog s'oriente vers une activité de parasite à nez rouge. Nez rouge de clown mais aussi d'amateur de vin, le pinard, de picrate et autres jus de raisins fermentés.
Je vais essayé de vous épargner les jérémiades déprimantes et torturé dont je me suis fais une spécialité sur mon précédent blog et que j'ai ré-éditer sur le 1er billet. Je vous souhaite bien du courage. A la bonne votre!

Je ne m'y attendais pas

Mais j'ai pu récupéré cette adresse qui fut ma toute première adresse de blog. Ayant perdu tous les codes d'accès je pensais ne plus jamais pouvoir l'updater. Google faisant des miracle, il m'en ont rendu l'accès sans même en faire la demande. Yahoo! (c'est pas toujours faire de la pub aux mêmes). Je déménage donc ici ce que j'avais remis sur thecharco.blogspot.com (Sauf quelque exceptions ya tout). En espérant que vous aller vous y retrouver.